Les origines su Chien
On ne sait toujours pas aujourd’hui quelles sont les origines exactes du chien. Toutefois, la domestication du chien a eu un impact sur la vie de l’homme dans son passage d’état de chasseur cueilleur à celui d’éleveur, facilitant ainsi sa sédentarisation. Les scientifiques émettent plusieurs thèses.
Première thèse
Le hasard : Par les croisements répétés d’une ou plusieurs espèces
Cette thèse semble ne pas donner suite, dans la mesure où les animaux à l’état sauvages évitent systématiquement de reproduire entre différentes espèces.
Deuxième thèse
Une espèce disparue: Le chien serait issu d’une espèce apprivoisée de canidé sauvage, ni loup, ni chacal
De nombreuses espèces domestiques sont issues d’espèces sauvages comme le cochon du sanglier, le mouton du mouflon, le chat du chat sauvage « Felix Sylvestris ». On peut en toute logique penser que le chien a suivi la même voie.
Par ailleurs lorsqu’une population de chiens retourne à l’état sauvage, que les individus se croisent sans la sélection de l’homme, on retombe sur un type primitif de chien, de taille moyenne, jaune roux, trapu, le museau allongé, les yeux marrons et oreille pointues, comme le dingo en Australie.
On tend à retrouver ce type de chien dans les pays où la reproduction n’est pas toujours contrôlée et où les chiens retournent à l’état sauvage au fil des accouplement, comme en Asie, en Amérique du sud.
On n’a jamais retrouvé de fossiles de cette espèce de canidés. Toutefois, on peut au regard de l’étendu du monde et du nombre de gisements de fossiles, estimer que cette absence de découverte est due au hasard.
Troisième thèse
Apprivoisement : du loup ou chacal
Le chien présente des similitudes morphologiques avec le loup: le crâne, les dents
Le chien présente également des similitudes comportementales avec le loup, qui vit en groupe, avec une vie sociale établie. Il aurait été au fil du temps, apprivoisé et domestiqué par l’homme qui a sélectionner des critères de taille, de pelage etc, en fonction des besoin du travail ou du climat. Puis des besoins de compagnie, ainsi les races d’aujourd’hui ne ressemblent plus au loup.
Par ailleurs, le chacal ne présente pas les mêmes analogies avec le chien.
Le retour à l’état sauvage des chiens, produit au bout de plusieurs générations, un type « Dingo », comme on l’a vu plus haut, et non pas un type loup. Notamment au niveau du poil, bicolore chez le loup, qu’on ne retrouve pas chez le chien revenu à l’état sauvage.
.
Conclusion
On n’est pas certains des origines exactes du chien, mais on sait que l’homme a façonné les races que nous connaissons aujourd’hui, notamment en fonction des besoins de travail, pour la chasse, le pistage, le rapport du gibier, la garde les bêtes, des personnes et des biens, la compagnie etc. Ainsi l’on retrouve des chiens courants, des retrievers, des chiens de berger, des terriers…
Première thèse
Le hasard : Par les croisements répétés d’une ou plusieurs espèces
Cette thèse semble ne pas donner suite, dans la mesure où les animaux à l’état sauvages évitent systématiquement de reproduire entre différentes espèces.
Deuxième thèse
Une espèce disparue: Le chien serait issu d’une espèce apprivoisée de canidé sauvage, ni loup, ni chacal
- Les arguments pour :
De nombreuses espèces domestiques sont issues d’espèces sauvages comme le cochon du sanglier, le mouton du mouflon, le chat du chat sauvage « Felix Sylvestris ». On peut en toute logique penser que le chien a suivi la même voie.
Par ailleurs lorsqu’une population de chiens retourne à l’état sauvage, que les individus se croisent sans la sélection de l’homme, on retombe sur un type primitif de chien, de taille moyenne, jaune roux, trapu, le museau allongé, les yeux marrons et oreille pointues, comme le dingo en Australie.
On tend à retrouver ce type de chien dans les pays où la reproduction n’est pas toujours contrôlée et où les chiens retournent à l’état sauvage au fil des accouplement, comme en Asie, en Amérique du sud.
- Les arguments contre :
On n’a jamais retrouvé de fossiles de cette espèce de canidés. Toutefois, on peut au regard de l’étendu du monde et du nombre de gisements de fossiles, estimer que cette absence de découverte est due au hasard.
Troisième thèse
Apprivoisement : du loup ou chacal
- Les arguments pour :
Le chien présente des similitudes morphologiques avec le loup: le crâne, les dents
Le chien présente également des similitudes comportementales avec le loup, qui vit en groupe, avec une vie sociale établie. Il aurait été au fil du temps, apprivoisé et domestiqué par l’homme qui a sélectionner des critères de taille, de pelage etc, en fonction des besoin du travail ou du climat. Puis des besoins de compagnie, ainsi les races d’aujourd’hui ne ressemblent plus au loup.
Par ailleurs, le chacal ne présente pas les mêmes analogies avec le chien.
- Les arguments contre :
Le retour à l’état sauvage des chiens, produit au bout de plusieurs générations, un type « Dingo », comme on l’a vu plus haut, et non pas un type loup. Notamment au niveau du poil, bicolore chez le loup, qu’on ne retrouve pas chez le chien revenu à l’état sauvage.
.
Conclusion
On n’est pas certains des origines exactes du chien, mais on sait que l’homme a façonné les races que nous connaissons aujourd’hui, notamment en fonction des besoins de travail, pour la chasse, le pistage, le rapport du gibier, la garde les bêtes, des personnes et des biens, la compagnie etc. Ainsi l’on retrouve des chiens courants, des retrievers, des chiens de berger, des terriers…